jusqu’au 11 septembre à l’ancienne Criée du Croisic
(du mardi au dimanche, 10h30-12h30/ 14h30-18h30)
C’est en septembre 1995 que l’institut culturel a remis le collier de l’Hermine à Jean Fréour. Que ceux qui connaissent mal l’œuvre de ce grand artiste se précipitent au Croisic et ils comprendront immédiatement pourquoi l’ICB a voulu l’honorer et le remercier par cette distinction !
Œuvres magnifiant le corps féminin, art sacré, sculpture en mémoire de personnalités ( Anne de Bretagne, Glenmor, Charles Cornic, La Rouërie, Pierre Bouguer…), témoignages de la vie quotidienne, caricatures… l’artiste passe avec virtuosité de la sensualité à la force, du silence intérieur et spirituel des saints à l’émotion (cette tête de Déporté ! ) ou à la précision ethnographique du geste (les Laveuses d’huîtres ou la paludière).
De la même manière, Jean Fréour joue avec près d’une cinquantaine de matériaux extrêmement divers mais totalement adaptés à son propos, tels Glenmor sortant de son bloc de granit brut – qu’il faut aller voir dans les jardins du Thabor, à Rennes – ou la délicate Ombre blanche d’albâtre diaphane…
Mais les mots ne sont que futilités… Il faut aller au Croisic !
Panneaux présentant le collier de l’Hermine et les Seiz Breur, et vitrine avec le collier remis à Jean Fréour.
Ombre Blanche
Saint Etienne Harding
Le déporté
Jean Fréour dans son atelier