1757 Béziers – 1829 Aix-en-Provence
Évêque de Vannes
Prêtre réfractaire à la Constitution civile du clergé et longtemps exilé, il est nommé malgré ses réticences évêque de Vannes en 1807. Rallié à la monarchie en 1814, il fait inhumer les restes des fusillés de Quiberon dans une chapelle expiatoire et institue à Sainte-Anne-d’Auray un petit séminaire, qu’il confie aux jésuites. Il soutient activement l’œuvre des missions et des retraites. Nommé archevêque d’Aix, il reste à Vannes jusqu’en 1819.